Actualités : Antoine

Jour de première

« Les rêves sont ma patrie. Les songes forment mon identité. »

Photo Margot Briand

Maria et les oiseaux (Histoires de Belgique) est assurément l’aventure artistique et humaine la plus folle portée par notre compagnie depuis sa fondation.

Aujourd’hui nous jouerons le spectacle dans son intégralité pour la première fois en public.

C’est une immense joie que cela ait lieu sur la scène de la Maison Culture de Tournai (celle-là même où se sont joués les premiers spectacles de ma vie de spectateur), au terme d’une résidence de quinze jours où nous avons été magnifiquement accueilli·es.

Sans les structures partenaires de notre compagnie et leur soutien essentiel, il va sans dire qu’un projet comme celui-ci n’aurait aucune chance d’exister. Merci à Anaelle et à toute sa formidable équipe à Tournai, merci Pierre & team pour l’enthousiasme déterminant à Bruxelles, merci Philippe et les martien·nes montois·ses, merci Vincent & co louviérois·es, merci Sylvie et les cassien·nes. Maria fut la première à bénéficier du super cadre des ateliers construction du Pôle de mutualisation de Manage et ce fut parfait ; merci à l’équipe des ateliers et aussi à celle des ateliers costumes du Théâtre National.

Si Maria est un d’abord un spectacle, c’est aussi désormais un livre, co-édité par De Facto, le Centre des Ecritures Dramatiques W-B et Emile & Cie. Il est en vente lors des représentations et disponible dès à présent en librairies et dans le catalogue Lansman Editeur – Emile&Cie. Il a été mis en page par Colin Junius et a bénéficié du travail d’édition de Maxime Nervenne, Caroline Cullus et Vincent Romain. Merci à elleux d’avoir rendu cela possible, et aussi à Anne-Emmanuelle Bourgaux qui en signe la préface qui nous fait rougir.

Pour qu’une pièce comme celle-là puisse voir le jour, il faut tout le talent, la déraisonnable envie, l’énergie et la force de travail d’une équipe hors normes, joyeuse et solidaire, où chacun·e oeuvre à mettre ses compétences et sa singularité au service du but commun. À vrai dire, dans le monde atomisé des écrans d’aujourd’hui, ce miracle-là de l’aventure théâtrale n’en finit pas de me bouleverser.

Merci, donc, du fond du coeur, à chacune de ces personnes qui m’ont fait l’honneur et le plaisir immense de composer ensemble notre équipe artistique : Quentin Simon à l’assistanat, Noémie Warion à la création de la scénographie et des costumes, Benoit Pelé à la régie générale et à la création sonore, Laurence Halloy à la création des lumières, Celia Naver au son, Julien Vernay aux lumières, Paul Gosset au plateau, Elise Abraham et Lola Barrett aux costumes. Merci aussi aux peintres Camille Burckel et Eugénie Obolensky, à Sabine Durand pour la dramaturgie de l’espace, à Ariane Rousseau et Charlotte Vancoppenolle pour le coaching vocal et à Lauriane Jaouan pour le coaching chorégraphique.

Sans Camille Lefèvre et Annabelle Kihoulou à la production, tout ce petit monde n’aurait assurément pas pu travailler. Merci infiniment à elles deux. Merci aussi à l’OA de De Facto d’être une inestimable source de soutien et d’encouragements (Big Up spécial à Catherine Ansay et Julien Sigard).

Enfin et évidemment, l’expression de ma gratitude ne saurait être suffisante envers celles et ceux qui, cinq heures durant, portent ensemble, à bout de corps et de voix, ce récit choral auquel iels insufflent désir de transmission, joie communicative, et émotion rare. Sarah Lefèvre, Valérie Bauchau, Anaïs Moray, Adrien Drumel, Axel Cornil, Consolate, Caroline Berliner, Renaud Van Camp, Brandon Kano Butare, Gaetan Lejeune, Madeleine Camus, vous êtes mes héro·ïnes, je mesure toute ma chance inouïe de travailler à vos côtés. Que l’art du jeu est beau quand il est porté par vous !

La pudeur m’empêche de dire ici ce que je dois et qui me lie à Thomas Depryck, avec qui nous avons écrit Maria. Il est mon ami.

Ce spectacle doit tout aussi à nos disparu·es d’hier et de tout à l’heure ; elles et eux qui vivent en nous chaque jour et désormais aussi sur scène. Merci.

Nous sommes prêts-prêtes ; nous vous attendons.

Cui cui cui cui.

antoine

Maria et les oiseaux : étape de travail publique

? Le samedi 12 octobre 2024 à partir de 14h
? 163, Rue du Croissant à Forest

Suite à deux semaines de résidence, les 11 acteur·ices vous invitent à découvrir le processus de travail en cours sous la forme d’une lecture de l’intégralité du texte. 

Déroulé de la présentation : 

  • 14h00 : Chapitre 1 (1945-1959)
  • 15h00 : Entracte (10 minutes)
  • 15h10 : Chapitre 2 (1960-1970)
  • 16h10 : Entracte (30 minutes)
  • 16h40 : Chapitre 3 (1970-1989)
  • 17h40 : Entracte (10 minutes)
  • 17h50 : Chapitre 4 (1990-2025)
  • 19h00 : Temps d’échange convivial 

 

Entrée libre avec réservation obligatoire via l’adresse : reservation@defacto-asbl.be 

 

Il sera possible d’assister à tout ou partie de la présentation. Les entractes permettront d’entrer et sortir facilement et librement. Il sera également possible, au besoin, d’arriver ou de quitter la présentation en cours. 

à propos du spectacle

Qui souhaite nous rejoindre ?

Dans le cadre de la création du spectacle Maria et les oiseaux (Histoires de Belgique), De Facto recherche un·e collaborateur·ice (f/h/x) en renfort production – médiation – diffusion pour un volume total de 10 à 12 semaines, à répartir entre septembre 2024 et mai 2025.

L’annonce complète et les modalités de recrutement ont été publiées sur le site Culture.be

Save the dates (and the democracy)

 

Maria et les oiseaux – Histoires de Belgique

Création 2025

Étapes de travail publiques :

  • 12 octobre 2024 – 14h00 – Bruxelles (Salle 163 Croissants à Forest)- accès libre, réservation souhaitée
  • 12 avril 2025 – 14h00 – Bruxelles (Maison-Poème à Saint-Gilles)
  • 4 mai 2025 – 14h00 – Bruxelles (Le Labeur à Anderlecht)

 

Premières représentations à la Maison de la culture de Tournai les 17, 19 et 20 mai 2025 ; reprise chez les partenaires de coproduction en novembre 2025.

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Déni Collection (Place du Jeu de Balle)

Création collective – 2027

Sortie de résidence publique : 8 février 2025Maison-Poème à Saint-Gilles (Bruxelles)

Recherche de partenaires en cours

Contact production

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Sidérations

(De Facto a vingt ans en 2024)

 

Comment, en ce début d’été, partager avec vous notre enthousiasme au travail et notre grande impatience à vous retrouver bientôt, alors que l’actualité politique est si profondément anxiogène, inédite et glaçante  ?

Comment «  communiquer  » (youpie, tralalère, ça va être super) quand on est littéralement sidéré·es (ceci ne peut pas réellement être en train de se produire)  ?

Peut-être en faisant le détour par notre histoire  ?

Peut-être en nous rappelant que le plateau, conçu comme lieu d’échanges, a été, est et sera, vaille que vaille, le lieu de notre engagement, aux sens physique comme éthique du terme.

Alors voici une tentative.

Celle du récit des origines de notre compagnie vu par le prisme de l’antifascisme.

Ma première expérience de mise en scène date de la saison 2002-2003. Alors étudiant à l’ULB, avec un camarade presque aussi inexpérimenté que moi, nous animions joyeusement l’atelier-théâtre du Cercle de romanes.

Au printemps 2002, nous avions à choisir la pièce de l’année suivante et nous nous trouvions en état de sidération : Jean-Marie Le Pen venait d’accéder au second tour de l’élection présidentielle française. Vingtenaires, nous suivions alors de près la politique française, plus largement médiatisée, plus facile à appréhender, plus réductible à des enjeux idéologiques immédiatement cernables, que celle qui nous concernait plus directement, nous, jeunes wallons vivants à Bruxelles depuis peu.

Avec Nicolas (le camarade en question), face à cette menace inédite qui pesait sur nos voisins et nous pétrifiait, prendre la parole à propos d’autre chose nous semblait impossible. Nous avons donc choisi Brecht : La résistible ascension d’Arturo Ui d’une part, le diptyque Celui qui dit oui / Celui qui dit non d’autre part (les deux pièces courtes encadrant sous l’apparence d’un prologue et d’un épilogue la « grosse pièce » retraçant la montée du nazisme dans l’Allemagne du début des années 30).

Un peu solennellement mais aussi déjà convaincus par l’importance de l’adresse, on avait donné pour titre à l’ensemble J’ai quelque chose à vous dire. Un de nos professeurs, le grand historien des nationalismes José Gotovitch, avait accepté d’enregistrer pour nous en voix off le texte des cartons brechtiens que nous diffusions sur des images d’archives muettes de l’Allemagne hitlérienne. José Gotovitch est décédé en février dernier et sa disponibilité à notre égard m’émeut encore aujourd’hui, lui dont les convictions étaient si superbement contagieuses.

Un an plus tard, nous montions dans le même cadre Café des patriotes, de Jean-Marie Piemme, pièce où, sur fond de Belgique meurtrie par des attentats, un jeune couple de notre âge se trouvait confronté à deux visages de l’extrême droite : l’une joviale et populiste (un patron de bistrot aux idées rapides), l’autre intellectuelle et inquiétante (un conseiller de l’ombre calculateur et cynique). Notre groupe était soudé, déterminé, nous travaillions dans la joie et l’idée ancrée profondément que le théâtre changeait celles et ceux qui s’y rassemblaient, dans la salle comme sur la scène.

Ces textes de Brecht et de Piemme auscultaient les compromissions pour tenter de comprendre l’attrait qu’exerce parfois le danger majuscule et pour approcher le mystère qui pousse certain·es à choisir librement des représentants liberticides, ontologiquement malhonnêtes et héritiers de criminels qui s’assument, prônant et organisant l’inégalité entre les individus et discriminant violemment certains groupes sociaux. Les compromissions auscultées étaient celles de la bourgeoisie, des milieux d’affaires, des vénaux, des lâches et celles, bien plus tristes, des aveugles manipulés et des laissé·es pour compte qu’on n’entend plus.

C’était il y a vingt ans, en 2004, année de la fondation de notre compagnie.

L’antifascisme est constitutif de notre théâtre.

Probablement, l’antifascisme est constitutif du théâtre-même, cet art de l’Altérité, qui n’a de sens et de force que dans la rencontre du Différent.

En affirmant depuis vingt ans et presque autant de spectacles notre désir d’entrer en contact avec nos contemporain·es, pour partager nos angoisses et nos refus, mais aussi notre aspiration à regarder le monde en face, avec ses injustices insupportables, ses mécanismes qui créent les laissé·es pour compte, ses fonctionnements paradoxaux et ses émotions fortes dans la rencontre, nous avons cru, humblement mais fermement, oeuvrer à une société plus libre, plus joyeuse, peut-être même plus belle par instants.

En vingt ans nous n’avons pas changé (ou si peu).

Notre sidération face à la réalité politique est plus forte encore aujourd’hui qu’en 2002. Et notre désir de (faire) théâtre n’en est que vivifié.

Sommes-nous de petits Don Quichotte qui s’ignorent ? Au moment où la menace de gouvernements alliant l’extrême droite aux ultra-libéraux est imminente (dans le pays où nous avons le plus joué nos pièces comme dans celui où nous les créons), notre réflexe  premier est de réaffirmer par nos spectacles et nos manières de les monter notre refus catégorique de voir s’appliquer des politiques discriminatoires, inégalitaires et liberticides.

Nous battons-nous contre des moulins à vent en opposant aux phrases racistes et anti-chômeurs que la droite emprunte aux fascistes pour gagner des électeurs, un travail de fond, le plus rigoureux possible, où la complexité du réel est abordée sans oeillères mais avec considération pour l’Autre (Celle et Celui dont on parle comme Ceux et Celles à qui l’on s’adresse) ?

Dans le fracas mondial, face à l’effroi de Gaza ou au Grand Déni écologique, c’est infiniment rien bien sûr. Mais quoi faire d’autre que s’engager du mieux qu’on peut là où l’on est ? Et, tel Alonso Quijano sans doute, armé des seules forces de l’imagination (mais quelles forces), tenter de porter cet engagement avec tout le sens de l’honneur et toute la flamboyance dont nous sommes peut-être capables.

Les spectacles que nous préparons actuellement et auxquels nous vous convions pour plusieurs étapes de travail (avant une première à Tournai en mai prochain et une reprise à Bruxelles, Mons et La Louvière en novembre suivant) ont cette ambition là. Ils interrogent notre héritage, exercent un droit d’inventaire du passé pour notre présent, tentent de comprendre le sentiment nationaliste, dissèquent l’étrange « fédéralisme de désunion » qui caractérise notre État ces dernières décennies. Et ils le font avec un élan que rien n’atteint, un désir plus fort que jamais. Peut-être devons-nous désormais aussi les envisager au plus près des lieux de lutte du quotidien.

Nous souhaitons à chacun·e tout le courage possible pour les temps qui arrivent, et particulièrement à toutes celles et ceux qui savent leurs droits désormais directement menacés. Nous pensons à vous.

antoine

 

illustration : James Ensor – Le Christ marchant sur les eaux (détail), 1883

En préparation

Depuis fin novembre 2023 et l’annonce des subventions structurelles pour la période 2024-2028, nous sommes activement en préparation de trois nouvelles créations :

MARIA ET LES OISEAUX – HISTOIRES DE BELGIQUE, une fresque pour onze acteurices qui dresse l’inventaire de ce qui a constitué la mémoire collective en Belgique francophone depuis 1945.  Trois étapes de travail publiques auront lieu les 12 octobre 2024, 12 avril 2025 et le 4 mai 2025 à Bruxelles, avant la première du spectacle le 17 mai 2025 à Tournai et une tournée à l’automne suivant.

SAUVAGE EST CELUI QUI SE SAUVE, d’après le livre éponyme de Veronika Mabardi. Création 2026.

DÉNI COLLECTION, création collective transgénérationnelle reliant héritage artistique et futur institutionnel des francophones de Belgique. Création 2027.

Retour à La Chartreuse

Deux ans après leur première session à La Chartreuse Cnes de Villeneuve lez Avignon, Thomas et Antoine sont de retour pour poursuivre l’écriture de « Maria / Belgique » (ce projet qui change de nom tous les six mois depuis plusieurs années !).
Maria / Belgique c’est l’histoire de Maria, née en 1927, qui aurait pu être la grand-mère d’Antoine ou celle de Thomas, qui a vécu toute sa vie à Haumières, village fictif situé à quelques kilomètres de la frontière française, de la frontière linguistique et de l’Escaut,
et, en parallèle à cette histoire de Maria et de ses proches,
c’est l’Histoire de Belgique, les événements politiques et historiques majeurs dont Maria est témoin entre 1945 et aujourd’hui.
Il s’agit d’une fiction, prenant appui sur un matériau documentaire conséquent, qui inventorie le passé belge récent et explore comment le passage progressif d’un état unitaire à un état fédéral a pu influer sur l’identité (multiple) d’un peuple, le nôtre.
La création est prévue à l’automne 2024.
Au boulot !

Une pleine page dans Le Soir !

L’édition papier du quotidien belge de référence consacre une pleine page à notre spectacle Macadam Circus, actuellement programmé par La Manufacture au musée Angladon, dans le cadre du Festival Off d’Avignon.

Il s’agit d’un long article de Jean-Marie Wynants, à mi-chemin entre la critique enthousiaste (« une performance époustouflante ») et le reportage de terrain relatant la réalité des compagnies jouant dans le Off.

Presse d’Avignon

Axel Cornil par Alice Piemme / A.M.L.

Les représentations de Macadam Circus au Musée Angladon / La Manufacture se poursuivent et de nouvelles critiques arrivent :

 

Macadam avignonnais !

Notre spectacle Macadam Circus se joue actuellement à Avignon dans la majestueuse cour extérieure du Musée Angladon, programmé par La Manufacture !

Il est épinglé parmi les 50 incontournables du OFF (sur plus de 1600!) par le site Le Bruit du Off.

Il est retenu parmi les 5 spectacles belges coups de coeur à ne pas manquer du journal L’Echo.

La cour est ombragée, Axel est généreux, on vous attend !

Les réservations se font ici.

PROJET-BELGIQUE (recherche de plateau)

Actuellement en atelier de recherche au Théâtre Varia :

Il s’agit d’entreprendre un travail exploratoire. 

Il s’agit d’explorer notre mémoire collective des 80 dernières années. 

Notre mémoire collective : celle des francophones de Belgique (qui n’est ni celle de France ni celle de Flandre) et de celleux qui vivent et ont vécu avec ou auprès d’elles et eux, en Wallonie et à Bruxelles. 

Il s’agit d’entreprendre un travail de recensement, de récolte, de collecte, d’écoute. 

Pour nourrir et engranger un geste artistique, une oeuvre. D’emblée et alors qu’elle n’existe pas encore, nous souhaitons que cette oeuvre soit hétérogène, composite, qu’elle soit fiction et document, acte d’archive et saga romanesque.

Qu’elle résulte, comme le pays, d’un agencement.

Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Service Général de la Création Artistique – Direction du Théâtre.

Macadam à Bruxelles !

? C’est la reprise pour Macadam Circus ! ?
Retrouvez-nous les 28, 29 et 30 juin et 1er juillet à 19h programmés par La Maison poème à l’Académie Arthur De Greef (Saint Gilles). Ces représentations ont lieu dans le cadre du Off de Propulse.
Réservations : info[at]midisdelapoesie.be
© Alice Piemme

20-21 en un coup d’oeil

Crâne, en octobre à Ath, Martinrou et Bruxelles (BE), en avril à Valère et Bienne (CH).

Le roman d’Antoine Doinel en novembre à Strasbourg.

Macadam Circus durant 7 semaines au printemps à Bruxelles

Annulation résidence d’écriture (Covid-19)

La résidence d’écriture de Thomas et Antoine à La Chartreuse, Centre National des Ecritures du Spectacle de Villeneuve-lez-Avigon (F), prévue du 27 avril au 24 mai 2020 et consacrée à la forme longue du projet Heimat, a été annulée en raison du COVID-19.

Annulation représentations Paris (Covid-19)

Les dernières dates de la saison 2019-2020 étaient les cinq représentations de Crâne programmées à Paris au Monfort du 26 au 30 mai. Elles sont malheureusement annulées en raison de la pandémie. Nous espérons pouvoir les reporter.

Les dates de la saison 2020-2021 seront communiquées ici prochainement.

CRÂNE : les dates de création

Les premières représentations de notre nouvelle création, Crâne, d’après le roman de Patrick Declerck (éd. Gallimard), auront lieu du 29 janvier au 16 février 2019 à Bruxelles, programmées par le Rideau de Bruxelles au Petit Varia.

Patrick Declerck par Maurice Rougemont

Patrick Declerck par Maurice Rougemont

Présentation du spectacle sur notre site.

Infos et réservations sur le site du Rideau.

Infos et réservations sur le site du Varia.

Contact presse et programmateurs : admin[at]defacto-asbl.be

HEIMATEN EN HAÏTI !

© ThomasLenne

© ThomasLenne

Après le prologue créé en mars 2016 au Festival XS (repris dans la foulée au Festival d’Avignon) et avant notre résidence d’hiver au Théâtre des Doms, le travail sur HEIMATEN se poursuit dès lundi au Festival Quatre Chemins de Port-au-Prince (Haïti), avec une présentation publique le 30 novembre !

Cette nouvelle étape rassemblera Caroline Berliner et Albert Moléon (jeu), Thomas Depryck (texte et dramaturgie) et Antoine Laubin (mise en scène).

Avignon en hiver !

Photo © Christophe Raynaud de Lage

Photo © Christophe Raynaud de Lage

Après son prologue en 2016 (au Festival XS puis au Festival d’Avignon) et une première phase de travail de plateau en novembre prochain au Festival Quatre Chemins de Port-au-Prince, le projet HEIMATEN sera en Résidence au Théâtre des Doms en février prochain.
Ce sera le troisième passage de notre compagnie aux Doms, après les représentations des Langues paternelles lors du Festival Off 2010 et celles du Réserviste lors de l’édition 2015.

 

De Facto en 17-18

© ThomasLenne

© ThomasLenne

Après quatre saisons consécutives très chargées durant lesquelles cinq spectacles et deux formes courtes ont été crées et représentées de très nombreuses fois, la compagnie se consacre exceptionnellement à la préparation de ses nouveaux projets, dont les créations sont prévues en 19-20 :

 

Quelques rendez-vous publics sont néanmoins prévus :

  • – le dévoilement de notre « projet surprise » (dont nous ne pouvons rien dire mais que nous préparons depuis des mois) le 28 octobre prochain (soyez attentifs ce soir-là à notre profil Facebook ou à celui de nos partenaires du Théâtre Varia)
  • – la présentation d’une étape de travail de Heimaten au Festival Quatre Chemins de Port-au-Prince (Haïti) durant le premier week-end de décembre
  • – la présentation d’une autre étape de travail de Heimaten dans le courant du mois de février (lieu à définir)

 

Bonne saison !

INDQE : Mise à jour de notre revue de presse.

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Certaines sont bien écrites et d’autres vite rédigées.
Certaines sont exaltées et d’autres ronchonnes.
Certaines analysent et d’autres jugent.
Certaines sont très positives et d’autres pas.
Certaines nous mettent en colère et d’autres nous réchauffent.
Toutes les critiques de « Il ne dansera qu’avec elle » sont sur la page du spectacle.
Et, pour vous faire votre propre opinion, c’est jusqu’à samedi au Varia ou à partir du 15 novembre à Liège !

INDQE : premières réactions !

© Arcas

Première de « Il ne dansera qu’avec elle » © Arcas

Avant la sortie des critiques dans la presse nationale, voici une premier florilège des réactions recueillies à l’issue des deux premières représentations de notre nouvelle création « Il ne dansera qu’avec elle » :

Commentaire de Thomas Gunzig sur Facebook adressé à Thomas Depryck.
Compte-rendu de Nicole Debarre (La Première), avec interview d’Antoine Laubin.
Critique de Nicolas Naisy dans Métro.
Notule critique de Gilles Béchet dans BRUZZ.